Publié le 23 Février 2008
Émile Verhaeren Vous ne reverrez plus les monts, les bois, la terre, Beaux yeux de mes soldats qui n'aviez pas vingt ans Et qui êtes tombés en ce dernier printemps Ou plus que jamais douce apparut la lumière. On n'osait plus songer aux champs d'or Que...